Mardi 12 Avril 2022
Thème : «De l’agonie à la résurrection de Jésus-Christ»
Texte : Luc 22:7-13
7. Le jour des pains sans levain, où l'on devait immoler la Pâque, arriva, 8. et Jésus envoya Pierre et Jean, en disant: Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions. 9. Ils lui dirent: Où veux-tu que nous la préparions? 10. Il leur répondit: Voici, quand vous serez entrés dans la ville, vous rencontrerez un homme portant une cruche d'eau; suivez-le dans la maison où il entrera, 11. et vous direz au maître de la maison: Le maître te dit: Où est le lieu où je mangerai la Pâque avec mes disciples? 12. Et il vous montrera une grande chambre haute, meublée: c'est là que vous préparerez la Pâque. 13. Ils partirent, et trouvèrent les choses comme il le leur avait dit; et ils préparèrent la Pâque.
Retenons :
Il y’avait de nombreuses personnes qui cédaient leurs biens, meubles et immeubles à Jésus pour des fins utiles. C’est la preuve que certains cœurs avaient reçu Jésus comme Seigneur, d’autres comme Sauveur et d’autres encore les deux. Le plan de Dieu pour le rachat de l’humanité était déjà bien ficelé dans le royaume de Dieu. Nous assistons à son déballage pendant les événements en cours. Les choses sont tellement fluides qu’on croit assister à une mise en scène précédemment préparée. C’est ce qui arrive quand on laisse Dieu prendre les choses en main. Laissons les portes de nos vies et celles de nos familles ouvertes à Jésus pour qu’il s’y établisse définitivement. Pas seulement pour préparer la pâque mais pour y vivre désormais sans interruptions. L’homme à la cruche peut être un indice pour nous amener vers le lieu préparé par Dieu depuis des siècles afin de faire la rencontre avec Jésus; manger avec Lui à la table du Seigneur. L’entrée de Jésus demeure triomphale même dans la maison d’un inconnu. Sous quelle forme entrera t-il dans nos vies : indigent, affamé, assoiffé, étranger, malade, prisonnier? Laissons alors Christ faire son entrée triomphale dans nos vies, nos boulots, familles... Excellent mardi d’hospitalité. Amen Alain Louz.-
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